mercredi 26 octobre 2011

aldous huxley nous parle depuis sa tombe ...

citation



 Je n'ai aucune raison de croire que celui qui m'enlèverait mes libertés, ne m'enlèverait pas, une fois en son pouvoir, tout le reste." John Locke

http://www.dailymotion.com/video/xc6nig_la-censure-du-nouvel-ordre-mondial_news

Aldous Huxley, dans sa préface révisée en 1946 au Meilleur des Mondes

Il n'y a, bien sûr, aucune raison pour laquelle les nouveaux totalitarismes devraient ressembler aux anciens. Le Gouvernement par le bâton et les escadrons de la mort, par la famine artificielle, l'emprisonnement de masse et la déportation massive, n'est pas simplement inhumain (personne ne se soucie beaucoup de cela de nos jours); c'est clairement inefficace et, dans un âge de technologie de pointe, l'inefficacité est le péché contre le Saint-Esprit. Un état totalitaire vraiment efficace serait celui dans lequel l'exécutif tout-puissant des chefs politiques et leur armée de managers contrôle une population d'esclaves qui n'ont pas besoin d'être contraints, parce qu'ils aiment leur servitude. Leur faire l'aimer est la tâche assignée, dans des états totalitaires actuels, aux ministères de la propagande, aux éditeurs de presse et aux enseignants.
... [De tels propagandistes] accomplissent leurs plus grands exploits, non en faisant quelque chose, mais en s'abstenant de faire. Grande est la vérité, mais encore plus grand, d'un point de vue pratique, est le silence sur la vérité. En ne mentionnant simplement pas certains sujets ... les propagandistes totalitaires ont influencé beaucoup plus efficacement l'opinion qu'ils n'auraient pu le faire par les dénonciations les plus éloquentes, les plus irrésistibles des réfutations logiques.
 





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jeudi 13 octobre 2011

l'europe en faillite

Mr sarkozy ,le petit president de la GRAND republique française fait demander a sa ministre d'education si faut-il qualifier les éléves en maternelle afin de palier a l'échec scolaire ....


TOUT SAUF SE REMETTRE EN QUESTION
Ce qui fait le monde occidental c'est un fuite en avant ,plutot que trouver la solution a nos problémes de societé (notamment la corruption gubernamental et le concubinage industriel,le manque de moyens mis a disposition des éléves et professeurs ,le lobby's bancaires et la'armamentization de la machine etatal ,etc ),trouvons de responsables !
Et nous savons tous que sommes nous les responsables pour tout ,bien évidemment depuis l'aube de temps ,pour permettre que de cas de figure pareil soient aujourd'hui une realite criante ....POUR AVOIR ABANDONNé LA LUTTE SINDICALE le probleme est une fois encore la pauvreté ,et mr sarkozy peut dancer la lambada ,depuis qu'il est au pouvoir il n'a rien fait absolument pour palier nos defauts de societe .Mais pas que lui ...l'europe entiere s'enfonce chaque jour un peu plus dans la **** .

mardi 11 octobre 2011

Les marchands de la famine

La crise alimentaire mondiale perdure, frappant les pays les plus pauvres. La politique agricole de l'Union européenne porte sa part de responsabilité dans ce phénomène. 

L’aile ou le blanc ? Sous prétexte de limiter les apports en graisse dans leur alimentation, les Européens sont aujourd’hui les plus gros consommateurs de blanc de poulet au monde. Mais que faire du reste ? Les débouchés sur le marché russe ou celui du Proche-Orient n’étant plus assez larges, les producteurs ont jeté leur dévolu sur le marché africain. L’exemple du Ghana et du Togo illustre les ravages de ces exportations massives, non seulement sur la production locale, mais aussi sur la santé publique par manque de contrôle des conditions de conservation, entre autres.

Bon film!

http://www.dpstream.net/films-A-qui-profite-la-faim--en-streaming-117579.html



On à dit que "pour réussir il faut avoir faim" ...
ce qu'on dit pas que c'est chez les autres que ça se passe...!

mercredi 21 septembre 2011

esclavitud perpetua....los tiempos nunca cambian para el pobre

No es posible mirar la sociedad chilena desde un solo punto de vista, porque toda observación resultaría incompleta. Es culpa común que existen dos clases sociales opuestas, y como si esto fuera poco, todavía tenemos una clase intermedia que complica más este mecanismo social de los pueblos". A partir de ese punto de vista -el del proletariado-, desarrolla su pensamiento.
"Estamos convencidos desde hace tiempo -sostiene- que no tenemos nada que ver con la fecha llamada el aniversario de la Independencia nacional. Creemos necesario decir al pueblo el verdadero significado de esa fecha, que desde nuestro punto de vista, tiene solamente sentido para la burguesía, siendo que son ellos los que se levantaron contra la corona de España y son ellos los que conquistaron esta patria para aprovechar todas las ventajas que les dio la Independencia... Es por esto que no encontramos razones por las cuales la clase popular pudiera sentirse feliz de este día... La fecha gloriosa de la emancipación del pueblo todavía no ha sonado, las clases populares viven aún en la esclavitud, encadenadas al orden económico por el salario y al orden político por el fraude... Un pueblo que vive así, sometido a los caprichos de una sociedad injusta, inmoral y organizada de manera criminal, ¿cómo puede celebrar el 18 de septiembre? Imposible. El pueblo debe abstenerse de participar en esta fiesta, debe negar su participación en las fiestas donde los verdugos y los tiranos celebran la independencia de la clase burguesa que no es ninguna independencia del pueblo, ni como individuo ni como colectividad".
No niega Recabarren lo evidente, pero descubre sus causas. "Hay progresos evidentes en el siglo transcurrido, ello no puede negarse. Pero esos progresos corresponden a la acción de toda la colectividad y en mayor proporción, si se quiere, de la clase proletaria, que es el único agente de producción, de creación de las ideas y de los pensamientos. Pero esos progresos ostensibles, son precisamente la causa de la miseria proletaria. El progreso está construido, pues, con cuotas de la miseria. De todos los progresos de que el país se ha beneficiado, al proletariado no le ha correspondido sino contribuir a él, pero para que lo gocen sus adversarios".
Luis Emilio Recabarren 1910.

jeudi 9 juin 2011

La verdadera oposicion es clandestina y anonima

Manual de lucha antisistemica
Porque no voy a manifestar nunca?

Porque en una manifestacion ,no solo te dan pâlo esos milikos ijoputas ,impunemente como paso en barcelona y como siempre pasa ,sino que encima te fichan y frente a un sistema mundial inhumano e injusto dirigido contra la poblacion civil nada somos .

No ,es mejor emplear las armas de nuestros adversarios ,sacudir la tela hasta que baje la araña y matarla entre todos a pura punta de discursos certeros y avisados
El nuevo dios es la nada y como tal ...no posee valores !
El mismo hecho de tener que emplear el lenguaje de nuestros adversarios nos condena a la impotencia ..
Cuando se trata de escoger la sociedad en la que queremos vivir ninguno de los partidos pone en peligro al sistema .

dimanche 24 avril 2011

Mike Gravel_español:el orden criminal del mundo

 usa dio un golpe de estado contra el mundo en 2001.Jamas saldra a la luz un verdadero juicio porque los poderosos de este mundo no tienen ningun interes en ir a la carcel .Seria enjuiciar no solo a los amos de usa sino tambien el mismo sistema corrupto mundial que los engendro .A los representantes de cada pais del mundo por complicidad y asociacion ilicita de hacedores del mal .
Un tal juicio haria irrisorio nuremberg .
Seria una tarea titanesca ,que nos haria reescribir casi completamente la historia del ser humano .
No nos hagamos ilusiones
Si el mundo esta como esta hoy 2011 no es casualidad pues nada ocurre por casualidad en politica

dimanche 10 avril 2011

jeudi 31 mars 2011

el crimen consiste en robar a los pueblos ;michel collon apoya a chavez contra la campana imperialista mundial






un "peon" d'hacienda latifundiste venezolian avait dit :"je ne veux pas que chavez parte parce que je ne veux plus être invisible" faisant mention que depuis 500 ans c'était la premier fois qu'un president êlu du peuple faîsait un bête recenssement de la population.
les pauvres sont a faveur de chavez ,ceux qui se plaignent sont ceux qui n'ont jamais eu faim dans un pays 3éme producteur mondial de petrole !!!
Une véritable honte qui dit bien ou allait avant l'argent du petrole!!



Tout ce qui veux l'imperialisme c'est écrasser la population souveraine et implanter des gouvernements fantôches comme celui du peru et de la colombie
Il oubliait de mentionner l'argentine parce qu'il avait un pede argentin dans le plateau !!!



L'étrange fiche des RG sur Hitler ...israel c'est aussi hitler!!
















"être israelien n'est pas être juif "


Claro que hay miles de judíos en todo el mundo en contra del Sionismo y del Estado de Israel, faltaria más. Y es que parece que algunos no tienen las cosas muy claras al respecto. Criticar al Sionismo o al Estado de Israel no es ser antijudío, ni antisemita, ni estar en favor de la islamización de Europa. Por el contrario esos patriotas zarzueleros de la Derecha y los progres de la izquierda que defienden la inmigración masiva en Europa o que alardean de que Israel es un “país occidental” y “nuestra primera línea de defensa”, son colaboracionistas activos del Sionismo Financiero y Multiculturalista.





dimanche 27 mars 2011

la duracion del instante segun bergson y la comprension del ser en tanto irreductible


Entre los filosofos mas incomprendidos de principios de siglo ,en mi opinion Bergson destaca ,no solo por lo prolifica y extensa de su obra , por la complexidad de los fenomenos tratados en ella ,sino porque lo logra  empleando terminos de gran sencillez que yuxtapone de forma original  ,se acerca para mi al prototipo del genio ,por lo profundo y por lo sencillo.

Henri Bergson

1859-1941. Filósofo francés.
La libertad es un hecho, y entre los hechos que observamos, no hay ninguno que sea más claro.
 
Más frases sobre: Libertad
Debemos obrar como hombres de pensamiento; debemos pensar como hombres de acción.
 
Más frases sobre: Acción
El presente sólo se forma del pasado, y lo que se encuentra en el efecto estaba ya en la causa.
 
Más frases sobre: Presente
La inteligencia se caracteriza por una incomprensión natural de la vida.
 
Más frases sobre: Inteligencia
La contemplación es un lujo, mientras que la acción es una necesidad.
 
Más frases sobre: Acción
Los conceptos están incluidos en las palabras.
 
Más frases sobre: Conceptos
0476011245

 

Henri Bergson

De Wikipedia, la enciclopedia libre
Henri-Louis Bergson Premio Nobel
Henri Bergson 02.jpg
Nacimiento18 de octubre de 1859
París, Francia
Fallecimiento4 de enero de 1941 (81 años)
Auteuil, Francia
NacionalidadBandera de Francia francesa
OcupaciónEscritor y filósofo
Henri-Louis Bergson o Henri Bergson (18 de octubre de 1859, París - 4 de enero de 1941, Auteuil) fue un escritor y filósofo francés, ganador del Premio Nobel de Literatura en 1927.

Contenido

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[editar] Vida

Hijo de un músico judío y de una mujer irlandesa, se educó en el Liceo Condorcet y la École Normale Supérieure, donde estudió filosofía. Después de una carrera docente como maestro en varias escuelas secundarias, Bergson fue designado para la École Normale Supérieure en 1898 y, desde 1900 hasta 1921, ostentó la cátedra de filosofía en el Collège de France. En 1914 fue elegido para la Academia Francesa; de 1921 a 1926 fue presidente de la Comisión de Cooperación Intelectual de la Sociedad de Naciones. Poco antes de su muerte en 1941, Bergson expresó de varias maneras su oposición al régimen de Vichy.
El bagaje británico de Bergson explica la profunda influencia que Spencer, Mill y Darwin ejercieron en él durante su juventud, pero su propia filosofía es en gran medida una reacción en contra de sus sistemas racionalistas.[1]
Dispensado de inscribirse en el registro en el que debían constar todos los judíos (era famoso y estaba muy enfermo) se presentó personalmente: “quise permanecer entre aquellos que mañana serán perseguidos”.

[editar] Antecedentes de su filosofía

El espiritualismo y el vitalismo. A principios del s. XX se produce una fuerte reacción ante el positivismo, con el fin de establecer la irreductibilidad del ser humano a la naturaleza. Encontrar ciertos ámbitos (valores estéticos y mentales, la libertad, el finalismo) que constituyen el ‘mundo del espíritu’ y hallar caminos, que sean distintos a los de las ciencias naturales, hacia esos ámbitos. Estos hechos también son reales. Puntos centrales de reafirmación:
  • La filosofía no puede ser absorbida por la ciencia: tiene problemas y procedimientos distintos.
  • La especificidad del hombre: interioridad (incluyendo a la memoria), libertad, conciencia, reflexión.
  • Necesidad de un método propio que escuche la voz de la conciencia.
  • Hay que investigar los límites del saber científico.
  • La naturaleza está determinada por un designio finalista y providencial.
  • Los temas principales de estudio son Dios y el ser humano, como ser libre y responsable, que se crea a sí mismo y, al hacerlo, crea el sentido de las cosas.
Fue un gran fenómeno europeo, cuya culminación se dio en Francia: Ravaisson, los Boutroux (padre e hijo Émile y Pierre Boutroux -Émile fue profesor de Bergson-) , Blondel y Bergson. Los derechos de la conciencia y los derechos inalienables de la persona. Hay problemas urgentes a los que no responden las ciencias particulares y que necesitan una respuesta racional.

[editar] Obra


Henri Bergson en 1910.
  • Los datos inmediatos de la conciencia: La conciencia es un tiempo que se distiende o dura: Esto significaría a la libertad y entonces resulta en una crítica a los planteamientos mecanicistas y cientistas (Se observa el influjo de pensadores literarios como, por ejemplo, Antonio Machado).
  • Materia y memoria: considera dos tipos de memoria: la memoria técnica (o constructiva), que se basa en la repetición y hábitos motores. La memoria vital, que revive un acontecimiento pasado en su originalidad única. Constituye el fondo de nuestro ser (Bergson para estudiar a la memoria comienza por estudiar a los materiales no orgánicos que tienen capacidad de recuperar algunos aspectos pristinos tras haber sido alterados).
  • La risa: lo cómico (el estudio que hace Bergson del fenómeno de la risa es magistral en cuanto su psicología: el ser humano suele reirse de lo que (inconscientemente) se le presenta como una deformación o caricatura de sí mismo = un fantoche o un payaso nos hacen reír porque son representaciones deformes hasta el grado de cosa de lo que somos nosotros mismos, es decir; Bergson entiende que la risa es una proyección y una descarga de tensión emotiva ante algo que nos representa.
  • Introducción a la metafísica: qué entiende por filosofía.
  • La evolución creadora: la distinción entre lo orgánico y lo inorgánico. el repaso de las teorías evolutivas y su proposición. La conciencia se impone a la materia, la duración como trazo de unión.
  • La energía espiritual: la vida, la conciencia, la memoria, el élan vital.
  • Duración y simultaneidad: la relatividad y la naturaleza del tiempo, la cuarta dimensión. Discusión acerca de la teoría de la relatividad de Einstein. Diferenciar su sentido físico (lectura genial de las ecuaciones de Lorentz) de su sentido filosófico.
  • Las dos fuentes de la moral y de la religión: estudio de la moral y de la religión. Ámbitos que no había considerado suficientemente.
  • El pensamiento y lo moviente: Por qué los sistemas filosóficos no han tratado el tiempo. La percepción del cambio. La filosofía y las ciencias.
Es el filósofo francés más importante de su época. Su filosofía fue un fenómeno de moda. Estudió matemática y mecánica, además de filosofía. Con Bergson se produce el paso del siglo XIX al XX: su vida y el sentido de su filosofía pertenecen al s. XX. Supone un momento de transición: superación del positivismo para plantear una nueva filosofía y metafísica, un intuicionismo. Los principios del siglo XX se caracterizaron por el dominio del racionalismo positivista: afán de rigor y objetividad. Limitar el conocimiento, el contenido de la inteligencia y de la vida. Lo real es lo susceptible de conocimiento positivo. Ambiente empequeñecedor y asfixiante. Anhelo de espiritualidad. A la hegemonía de lo externo, mecánico y necesario se opone la filosofía de la vida: derechos de lo interior, lo dinámico, espontáneo y libre.
Inconmensurabilidad y singularidad de la vida. Momento histórico en el que la psicología se constituye como ciencia positiva. Se establecen dos mundos:
  1. El espacio: lo estable y necesario, la materia, exterior, útil y nivel de las ciencias naturales.
  2. El tiempo: lo dinámico y espontáneo, la vida, experiencia interna, la filosofía. Aquí está el constitutivo de la realidad, que sólo se conoce desde dentro, en el contacto inmediato e intuitivo. Limitar las pretensiones del intelecto y hacer posible la filosofía. Su objetivo fue la defensa de la creatividad y la irreductibilidad de la conciencia o espíritu (en francés la palabra sprit es decir "espíritu" suele usarse para designar a algo más material: la conciencia) contra todo intento reduccionista de cuño positivista.
Fuentes de su pensamiento: recuperar determinadas dimensiones de la conciencia, perdidas por el idealismo: sentimiento inmediato de las cosas y de uno mismo. Formación positivista: Darwin (1859. El origen de las especies) y Spencer, de él toma el evolucionismo y su noción de inteligencia, pero lo depura de sus rasgos naturalistas y positivistas, la evolución -y con ella la vida, y sobre todo la vida humana- es para Bergson una inversión de materia en el tiempo hacia lo superior. Bergson también tiene influencias de Kant y los neokantianos e influencias de la tradición personalista francesa, Maine de Biran: radicalidad de la persona y el espíritu, libertad, análisis de la vida interior, la conciencia y la experiencia interior vistas como conocimientos superiores.

[editar] Características de su pensamiento

  1. Uso de imágenes y metáforas.
  2. Precisión en el lenguaje. Uso abundante de dicotomías que es paralelo a la denuncia de las falsas dualidades.
  3. Concepción muy personal de la filosofía: evitar las abstracciones y las generalizaciones, que no alcanzan la realidad.
Su punto de partida es la filosofía de Spencer (1820-1903). Muy interesado en la mecánica, trabajó como ingeniero en los ferrocarriles. Luego estudió geología y biología. Antes que Darwin, planteó una interpretación de la realidad basada en el principio de la evolución. Rebatió a Comte y su clasificación de las ciencias. Toda la realidad está sometida a la evolución, que es la manifestación de lo incognoscible o "fuerza" (élan vital). Su supuesto es la conservación de la materia y de la energía. Es un proceso mecánico, no finalista, que para él es la más concreta, pero percibe que es obligación de la filosofía ir al fondo de las ideas básicas de la mecánica: el tiempo. La mecánica trata el tiempo de un modo matemático, espacialmente, como un receptáculo vacío y homogéneo que forma una línea; éste no es el tiempo real, el tiempo real es (en la opinión de Bergson) una pura duración[2] que se capta en la experiencia interna. La mecánica no comprende el tiempo, pues lo concibe según el modo de ser del espacio; además hace imposible el movimiento, pues lo divide en unidades cuya entidad es completa en sí misma.[3]
La filosofía tiene que hacerse cargo de ese tiempo real y para ello recurre a la intuición, como conciencia inmediata o percepción directa de la realidad, que no usa simbolizaciones, aunque no puede prescindir del lenguaje.
El positivismo y las ciencias no mantienen su compromiso de fidelidad con los hechos, pues el tiempo de la experiencia concreta escapa a la mecánica, que trata el tiempo como una serie de instantes, uno junto a otro; un tiempo espacializado y reversible (se puede dar marcha atrás y repetir el experimento); los instantes son externos e iguales: Tiempo isocrónico de Newton. Pero el tiempo de la conciencia no es así, su rasgo básico es la duración: el yo vive el presente con el recuerdo del pasado y la anticipación del futuro, 'que sólo existen en la conciencia que los unifica. Los instantes valen de diferente modo, un momento penetra en otro y queda ligado a él. Es inútil ir a la búsqueda del tiempo perdido: no hay reversibilidad del tiempo. El tiempo es nuevo a cada instante y requiere un método específico.

[editar] Obras destacadas

  • Essai sur les données inmédiates de la conscience/ Ensayo sobre los datos inmediatos de la conciencia. (1889)
  • Le Rire/ La risa. (1899)
  • Matière et mémoire/ Materia y memoria. (1896)
  • L'évolution créatrice / La evolución creadora. (1907)
  • L'Énergie spirituelle / La energía espiritual. (1919)
  • Les deux sources de la morale et de la religion / Las dos fuentes de la moral y de la religión. (1932).

[editar] Véase también

[editar] Notas y referencias

  1. From Nobel Lectures, Literature 1901-1967, Editor Horst Frenz, Elsevier Publishing Company, Amsterdam, 1969
  2. En esto habría influido sobre Marcel Proust cuando éste escribió su En busca del tiempo perdido.
  3. Gilles Deleuze: "La imagen-tiempo", en el libro citado el posmoderno -aunque entonces todavía posestructuralista- Deleuze observa como la concepción del tiempo y su duración para Bergson habría estado influida por la -entonces reciente- invención del cinematógrafo.

[editar] Bibliografía

[editar] Enlaces externos


Predecesor:
Grazia Deledda
Premio Nobel de Literatura
1927
Sucesor:
Sigrid Undset

jeudi 27 janvier 2011

Nuestra Vida es una Mentira

Nuestra Vida es una Mentira

El Fin del Trabajo Humano

Jornada Laboral vs. Tecnología

la mesa esta servida

5 alimentos que jamás comerías si supieras como se hacen

miércoles 26 de enero, 7:38 PM
Por Jorge Luis Fernández
 

Planeta JOY

La mayoría de las personas prefiere no saber cómo se elaboran ciertos alimentos. Si no estás en ese grupo, seguí leyendo. Te vas a enterar con qué ingredientes se hacen algunos productos que comemos muy seguido. Eso sí: cuando llegues al final de la nota, puede que no los quieras volver a probar.

 
1. Gelatina
Si existe un producto inofensivo, ese es la gelatina. Es un alimento libre de colesterol, sin conservantes ni aditivos, que los médicos recomiendan para prevenir la osteoporosis y la artrosis, entre otras bondades. Sin embargo, bajo su aspecto inocente se oculta un monstruo de faena. Está formada por un 90% de proteínas obtenidas del colágeno. ¿Cuál es la materia prima del colágeno? Los recortes de piel sin curtir del ganado vacuno y los descarnes frescos de cabeza y huesos, que se desgrasan y trituran antes de las 24 horas del sacrificio del animal, para transformarlos en oseína. Tras lavarlos varias veces con ácido, los cueros y la oseína se exponen a una solución de cal, entre 5 y 10 semanas. La sustancia extraída es luego esterilizada a 145 grados y rápidamente se la enfría para solidificarla. De ahí, puede ir directo tu cocina.
 
 
2. Kanikama
Es el nombre genérico de un producto elaborado con surimi, una pasta de pescados de carne blanca que lleva saborizantes y colorantes para simular centolla. Pero de pescado conserva poco. Para prepararlo se desmenuzan especies de abadejo, caballa, bacalao y merluza. La mezcla se enjuaga repetidas veces y luego pasa por una máquina que recalienta y enfría el revoltijo sucesivamente. Al cabo de cuarenta minutos, sólo queda un gel al que se agrega almidón, saborizantes, clara de huevo, sal, azúcar, conservantes, colorantes, glutamato monosódico y un largo etcétera de ingredientes. El producto es luego congelado. Después se arman los rollos de kanikama.
 
 
3. Queso de cerdo
Cabría suponer que es otro derivado lácteo. Pero nada más lejano a la realidad. Este embutido, que se vende en forma de barra rectangular, se elabora con caldo de carne de la cabeza del cerdo (por eso también se lo conoce como queso de cabeza). Para cuajar el menjunje de ingredientes faciales se aprovecha el colágeno de la cabeza. Está muy difundido en Europa y su receta varía de país en país. En Bulgaria le agregan patitas. En Alemania se lo conoce como schülz y masticándolo podés encontrar pedacitos de cuero y pelos.
 
 
4. Morcilla
Componente esencial de cualquier asado, es un embutido de sangre de cerdo coagulada. Hasta acá, no es noticia. Pero la forma en que se prepara sí. Primero, se lavan las tripas de porcino con jabón blanco y limón repetidas veces, hasta dejarlas sin olor. El relleno se prepara con un litro de sangre sin coagular, que se vuelca en una olla y se condimenta con ajo, ají, cebolla, azúcar, sal y orégano. Tras hervir los ingredientes, se ata un extremo de la tripa y se introduce la sangre por el otro con un embudo. Después se cierra y se hierve nuevamente durante treinta minutos. Si al masticar notamos algo duro en la boca, como un cartílago, es porque en muchos casos se agregan huesos triturados de cabeza en la olla.
 
 
5. Paté
Es un favorito de las picadas, del que casi nadie sabe a ciencia cierta qué lleva. Se elabora con el descarte de vísceras y de carne de diferentes animales, como vacas, cerdos y patos. Para lograr la textura, el sabor y la consistencia que conocemos, se agregan harinas, especias, leche, conservantes y otros varios aditivos, para luego tratar con calor. Aunque predomina el sabor a hígado, no es el ingrediente que más abunda en la mezcla.

mercredi 26 janvier 2011

terrorismo de estado,la industria del miedo

GENOCIDIO PROGRAMADO DESDE WASHINGTON



El control de la población mundial

El plan que ya se está ejecutando en Argentina


INTRODUCCIÓN

Queridos amigos, si pudiéramos sintetizar en una frase la realidad de nuestro mundo, podríamos decir que la humanidad vive en la actualidad una lucha entre los fuertes y los débiles, cuyo ámbito de acción es universal. Enfrentándose un conjunto de países y sociedades enriquecidas como son Europa, EE.UU. y Japón, que apenas constituyen un 15% de la población mundial, con una inmensa mayoría de población empobrecida, que padece una continua situación de injusticia, de robo y de violencia.
Existe por lo tanto una realidad de dominación de los fuertes, de ámbito planetario cuyas fuerzas motrices son el lucro y el poder. Estos planes se disfrazan como "salud reproductiva", "paternidad responsable", "planificación familiar", "educación sexual", "lucha contra el SIDA", "salud sexual", "acciones de género", "feminismo" o "desarrollo sustentable".
Esta división del género humano entre fuertes y débiles genera sobre los países empobrecidos una realidad de injusticia, violencia y muerte.
- El 82% de la humanidad está condenada al hambre.
- 1500 millones de personas sufren en sus diferentes formas el paro.
- 400 millones de niños viven en situación de esclavitud
- 50 millones de muertos es el balance anual de los más de 40 conflictos bélicos abiertos en la actualidad, la mayoría mujeres y niños.
- 50 millones de niños son abortados al año.
- 80 países tienen en vigor la pena de muerte
- El terrorismo, la eutanasia no cesan de arrojar victimas y destrozar familias.
Podemos afirmar por lo tanto que vivimos en una auténtica guerra planificada contra la vida, contra los débiles, los empobrecidos,... en la que no se puede ser espectador. Se es víctima o verdugo. Se está con los fuertes o con los débiles.
Ahondaremos en la charla de hoy uno de los pilares de ésta situación de dominación como es el control de la población y los diferentes mecanismos que facilitan dicho control (aborto, eutanasia, clonación, la esterilización) para después denunciar las causas y fines que hay detrás de tanta muerte.
En un primer momento me centraré en los caras que tiene en nuestra sociedad este control de la población, como son las políticas proabortivas, la aceptación de manera paulatina de la eutanasia, y de la clonación.

1.- ABORTO

Se estima que en el mundo se producen 53 millones de abortos al año.
En la actualidad está permitido el aborto en 54 países, lo que supone el 61% de la población mundial, sin contar los abortos ilegales que se producen, los cuales se dan tanto en los países en que está legalizado como en los que no.
Una cifra: en España se produjeron 60.000 abortos en el año 2000, que se pueden considerar libres, de hecho y que con las últimas reformas del gobierno popular ha aumentado un 29%.
En el mundo científico se considera ser vivo a cualquier tipo de célula que existe en la naturaleza. Se busca vida en Marte buscando moléculas de agua, pero esto no ocurre con los seres humanos. No se considera una persona, una vida a un feto dentro del vientre materno, sobre todo si es en las primeras semanas de gestación, a pesar de que incluso antes de las 4 primeras semanas ya existe latido.
Para justificar el aborto terapéutico se habla de un peligro para la salud de la madre, o de grandes malformaciones en el feto. La mayor tasa de abortos, el 97%, se produce en mujeres entre 20 y 29 años, que está descrita como la edad de menor riesgo de alteraciones psicológicas.
La paternidad responsable no está fomentada debidamente, de modo que esta debilidad de la familia es asumida por el Estado, o más bien, los padres delegamos en el Estado, la responsabilidad de la educación de los hijos. Este es el caso más llamativo de los jóvenes. En vez de formación en valores y respeto a la dignidad de la persona, a nuestros jóvenes, es más fácil darles condones, que ni siquiera saben usar.
Está visto que este es un punto clave de ataque a la familia, célula base de la sociedad. El ataque sistemático a la familia, ha llevado a ésta a la pérdida de la transmisión de valores como la gratuidad, el sacrificio, la solidaridad, el amor, la protección del débil, dejándolo en manos del Estado donde prima el individuo sin responsabilidad, que consume, que vive al día, que busca el bienestar y la comodidad por encima de todo, que no lucha por los más débiles o contra las injusticias.

2.- EUTANASIA.

Conocemos como eutanasia al proceso de muerte inducido premeditadamente de un hombre hacia otro hombre, en otras palabras, matar a otro hombre con el pretexto de ahorrarle sufrimiento. Es diferente al derecho a morir dignamente.
Más técnicamente lo definen como la muerte fácil e indolora, o una muerte "piadosa" provocada en una persona que sufre una enfermedad incurable y dolorosa.
Nos encontramos en una sociedad que quiere alargar la vida media del hombre. Según el último informe de la Comunidad de Madrid, la vida media de las madrileñas ronda los 83 años de edad y la de los madrileños, los 78, con lo cual vemos claramente que se está consiguiendo. Nos bombardean con los hábitos de vida saludable, con la calidad de vida, pero, sin embargo, no quiere a los longevos, y legaliza medidas para eliminarlos. Como consecuencia directa del alargamiento de la vida, están las enfermedades propias de la ancianidad.
Según las más recientes estimaciones, tendemos a vivir en una sociedad cada vez más envejecida. Algunos datos: En 1900 Europa tenía el 25% de la población mundial, en 2050, será el 7%.
Más concretamente en España. Hoy España tiene 39.4 millones de habitantes, cifra que va en disminución a partir de las próximas décadas. Se calcula que en 2020 habrá 14 millones de españoles con más de 65 años, lo que representa un 17% de la población. En Europa un 15%.
¿Qué pasa?. Que con la disminución de hijos por mujer, que está en España en 1.07, la atención familiar a esos ancianos será escasa, puesto que corresponderá en su mayoría a las familias de un solo hijo resultantes de 20 años de anticoncepción.
Pero centrándonos exclusivamente en la dignidad de la persona, del ser humano. ¿Por qué queremos "matar" a los que no están bien?.
Queremos vivir más, pero no asumir las consecuencias de ello. Para eso ya hemos inventado lugares donde encerrar a nuestros ancianos que ya no pueden hacer otra cosa más que estar sentados en su silla de ruedas al sol, ya no nos sirven como referente, su vida y su experiencia. Han perdido el valor en una sociedad que vive de lo que el presente dictamina. Bueno, miento un poco. Los ancianos si que interesan, son un negocio redondo.
Pero esto ocurre aquí, donde la eutanasia aún no está legalizada, aunque se estén dando pasos para ello, en mi opinión, como es el testamento vital, aprobado ya primero en Cataluña a través de la Ley 21/2000, el 29 de diciembre del año 2000, y en el resto de España, por unanimidad en el Congreso de los Diputados el 20 de junio de 2002.
Por ejemplo, en Holanda, según el Informe Remnlik, de 1991, en 1990 hubo más de 12000 casos de eutanasia en los cuales los médicos tomaron decisiones sobre las vidas de sus pacientes en más de la mitad de los casos sin el consentimiento de éstos. Estas medidas tienen unas consecuencias directas, de las cuales, la más significativa es que Holanda es el país europeo más atrasado en cuanto a la medicina paliativa de Europa.
En general, la aceptación de la eutanasia, lleva consigo una serie de consecuencias como:
- la utilización de la eutanasia, como ya hemos dicho, frena la investigación y el avance de la medicina. Sabemos que lo que impulsa a la investigación son los procesos, para desarrollar nuevas terapias tanto curativas como paliativas.
- tanto la eutanasia, como el aborto, como la clonación, generan y fomentan una mentalidad eugenésica, negándonos nuestra dignidad como personas y nuestros derechos, sobre todo, el derecho a la vida.
- la generalización de la eutanasia fomenta la mentalidad de que una vida con limitaciones no merece la pena ser vivida (que se lo pregunten a Stephen Hawkins).
- la presión social puede llegar a generar un sentimiento de culpa sobre la persona enferma, de tal modo que piense que es una carga para su familia y para la sociedad. Esto incrementa la eutanasia involuntaria, al igual que en el caso del paciente que no se encuentra en condiciones de expresar su voluntad. En este caso es el médico y la familia, los que dan con la conclusión de cuál sería la voluntad del paciente si pudiera expresarse. Se llega a la conclusión de que esa vida no tiene valor.

3.- LA CLONACIÓN.

Hablamos de clonación cuando nos referimos a la producción de muchas copias idénticas a un fragmento concreto del DNA.
Los expertos nos hablan de 2 tipos de clonación:
- Clonación reproductiva: que es la que se utiliza para obtener individuos clónicos entre sí o entre sus progenitores. (esta es la propaganda que la secta de los raelianos ha puesto de moda)
- Clonación no reproductiva: que es la aplicación de técnicas de clonación en cultivos celulares o en embriones sin intención de producir un individuo vivo, sino con objeto de establecer cultivos de tejidos, y si fuera posible de órganos, a partir de células, que son células inmaduras con capacidad de regeneración y de diferenciación. Estos últimos pueden ser establecidos con fines de investigación básica o clínica en la reparación de órganos o tejidos dañados, en cuyo caso hablamos de clonación terapéutica.
Ambos tipos de clonación tienen una serie de aspectos éticos y morales importantes de reseñar.
Sobre la clonación reproductiva diremos:
- El hombre es un fin en sí mismo, no un medio.
- El hombre tiene derecho a no ser programado genéticamente.
- El hombre tiene derecho a ser genéticamente único e irrepetible (propiedad de unicidad)
- La clonación humana responde a una trayectoria eugenésica, que quiere clonar a los fuertes.
Según Hans Jonas es "en el método la forma más despótica y, a la vez, más esclavizante de manipulación genética; su objetivo no es la modificación arbitraria de una sustancia, sino precisamente, su arbitraria fijación en oposición a la estrategia dominante en la naturaleza".
- La clonación humana produce una instrumentalización de la mujer, reducida a mera portadora de óvulos y de útero, pasando posteriormente a la creación de úteros artificiales.
- Se desvirtúan las relaciones más propias de la persona, la maternidad, la paternidad,... pudiendo ser una mujer gemela de su madre o hija de su abuelo. Rompemos de nuevo la familia, núcleo de la sociedad y de la solidaridad.
- Alimenta la idea de que algunos hombre pueden tener el dominio total y absoluto sobre la existencia de los demás.
- Favorece la idea de que el valor del hombre y de la mujer no dependen de su identidad como personas, sino de las cualidades biológicas que pueden apreciarse, y que por tanto, pueden ser seleccionadas.
- El hombre no es sólo un conjunto de células, órganos, genes. Es cuerpo y alma. Tiene motivaciones, ideales, experiencias vivenciales y no sólo físicas.
Aún no hay una experiencia suficiente ni con animales, además los ensayos que se han realizado no han llegado a buen puerto.
Los intentos realizados por el momento han sido infructuosos. Por ejemplo, para clonar a la oveja Dolly se requirieron 200 intentos. El éxito no ha superado un 3% de los experimentos. Se han producido anormalidades, abortos, y todo tipo de defectos y mutaciones. No se sabe si el individuo clónico puede ser portador de graves anomalías genéticas.
La valoración ética de este tipo de clonación es negativa, y desde la comunidad científica se apela al sentido de la responsabilidad.
Sobre la clonación no reproductiva o terapéutica diremos:
Se podría pensar que en este tipo de clonación no existen reparos éticos, sin embargo, la obtención de un embrión artificial con el objeto de hacer cultivos, plantea el problema de haberlos creado. Haber creado un embrión humano que ha de ser destruido para poder establecer los cultivos celulares deseados. Se habría creado un embrión para experimentación.
Aquí volvemos al tema del aborto, ¿desde cuándo es persona una persona?.
Se constata que podría ser innecesaria la utilización de la clonación no reproductiva si llegan a hacerse realidad clínica los datos experimentales emergentes que parecen indicar la posibilidad de establecer cultivos de tejidos a partir de células madre que están presentes en órganos de personas adultas. Aquí aportamos por ejemplo el caso del paciente de cardiología que salió hace pocas semanas en lo medios de comunicación, en el que, a partir de células de su propio cuerpo, se han podido reconstruir los tejido dañados en su corazón tras un infarto de miocardio.
Son tantos los aspectos éticos negativos en cuanto a la clonación que ni siquiera la comunidad científica lo tiene claro. Para maquillarlo un poco, han inventado la figura del pre-embrión, pero no está claramente definido, ¿por qué? A lo mejor no tiene respuesta.
El hombre se apodera de la "libertad" de jugar con la vida del hombre al no considerar al embrión como una vida humana en desarrollo. Desde la Iglesia se nos recuerda que estas técnicas, que se introducen en nombre de la salud y del bienestar, suponen una auténtica discriminación entre los seres humanos en virtud de su tiempo de desarrollo. De este modo, un embrión vales menos que un feto, un feto menos que un niño, un niño menos que un adulto. Trastocando el imperativo moral que impone, por el contrario, la máxima tutela y respeto precisamente a los más débiles, a quienes no están en condiciones de defenderse y manifestar su dignidad intrínseca.
Podríamos concluir afirmando que estos tres aspectos: aborto, eutanasia y clonación, atentan contra la vida humana, vulneran los derechos humanos fundamentales, en virtud del hecho de ser hombre y eximen el derecho de igualdad, el derecho a la vida y a la integridad física y mental, desde el primer hasta el último momento de sus existencia.

JUICIO

La primera pregunta que probablemente nos venga a la cabeza es pensar ¿porqué ocurre esto? ¿quiénes son los responsables de ésta situación de verdadero exterminio sobre la vida?
Recordemos que ya Malthus en el siglo XVIII auguraba que si la población mundial seguía creciendo el planeta caminaría inexorablemente hacia la ruina. Ese mito de que somos demasiados sigue siendo argumentado por los estados y organismo internacionales como justificante de las políticas de planificación familiar, es decir, de exterminio. Y además son las víctimas, los débiles los responsables de su malnutrición, de su subdesarrollo, de sus problemas sanitarios endémicos, de la destrucción del medio ambiente, son muchos y viven hacinados, tiene demasiados hijos, y por lo tanto, no tiene para dar de comer a todos, no tiene medios para educarse, están constantemente en guerras tribales, y la conclusión para ellos es que sobran. Que de forma más eufemística podríamos decir que se necesita aplicar sobre ellos políticas de desarrollo sostenible de la población. Y la sostenibilidad ya ha sido fijada: 7280 millones de personas según el Fondo para la población de las Naciones Unidas. Aunque para el embajador de EE.UU. en España, con el fin de proteger la naturaleza, dejaría la población en 2.000 millones. La pregunta es si el se incluiría en los 2.500 millones de personas que según el mismo sobran.
Pero la realidad echa por tierra éstos argumentos de superpoblación.
- No faltan alimentos. Con la producción actual se podría alimentar a 10.000 millones de personas. Un niño americano consume lo que 442 niños etíopes.
- La densidad de población no está relacionada con el aumento de la mortalidad. Suiza, por ejemplo, no tiene recursos naturales, y mantiene unos niveles de densidad de población de 160 hab por km2. Holanda de 354, Alemania 246,.... y por otro lado tenemos a Bolivia con 6 hab/km2, Etipio 44, Tanzania 47, Argentina 18,.... La conclusión es que los países ricos son los que más alta densidad demográfica tienen.
- Y si hablamos de consumo, un niño europeo consume 50 veces más de energía y produce 50 veces más de basura y desechos tóxicos que un niño que viva en África.
Luego la situación actual no es un problema de explosión demográfica, ni de superpoblación, ni de agotamiento de los recursos. Es un problema de injusticia a nivel económico, político, social, de reparto de la riqueza. Ante la cual la respuesta lógica sería el cambio de dichas estructuras, pero se ha optado por acusar a la víctima, por planificar su control.

¿CUÁLES SON LAS ESTRATEGIAS DE CONTROL DEMOGRÁFICO?

Este acusar a la víctima se puso de manifiesto en el informe 2000 (NSSM 200) elaborado por el Consejo de Seguridad Nacional de EE.UU. en el año 1974 y puesto a la luz en los años 90. En donde se decía:
- Los actuales factores de población en los países menos desarrollados suponen un riesgo político, incluso un problema de seguridad nacional para EE.UU.. Los países con interés estratégico para EE.UU. son India, Bangla Desh, Pakistán, Nigeria, México, Indonesia, Brasil, Filipinas, Tailandia, Etiopía, Turquía y Egipto... especialmente aquellos que tienen una población creciente y desigualdades también crecientes). v - En el punto 33 de dicho documento: Nuestro objetivo es que el mundo llegue al nivel de fertilidad de reemplazamiento en el año 2000. Las bases para lograr éste objetivo deben figurar en el Plan Mundial de Población de las Naciones Unidas.
- La localización de reservas de minerales en estos países supone una relación de dependencia de los países industrializados respecto a los menos industrializados... Es posible que empresas extranjeras sean expropiadas a través de gobiernos, conflictos laborales o desordenes civiles. Con ello nuestras reservas se verían comprometidas. Por lo tanto si se reducen las condiciones de crecimiento de la población los riesgos sobre nuestros intereses serán menores. Queda claro que son las materias primas del tercer mundo el interés de estrategia de seguridad nacional de EE.UU..
Y ¿cómo poner en práctica éste control de la población?
En dicho informe se decía:
- Los EE.UU. trabajarán con organizaciones internacionales estimadas y creíbles como la OMS, el Banco Mundial y la UNICEF.
- Tenemos que tener cuidado de que nuestras actividades no den a los países en desarrollo la apariencia de políticas de un país industrializado contra países en desarrollo. Hay que asegurarse en éste terreno. Los líderes del Tercer Mundo deben figurar a la cabeza y recibir el aplauso por los programas eficaces.
Un ejemplo de esto lo tenemos con los premios a la Planificación Familiar que instituyó la ONU, donde China y la India obtuvieron los primeros por su política de descendencia única y por su política de esterilización masiva.
- El arma de los alimentos debe ser utilizada. Los gobiernos del Tercer Mundo que no se sometan voluntariamente al programa de reducción de población deberán ser forzados a esa sumisión por estos medios: denegarles créditos por parte del FMI, incitar a la rebelión a la población hambrienta, llegando incluso a cambios de soberanía. (Como dirá Allan Greg, de la Fundación Rockeffeler, la superpoblación es un cáncer; nunca he oído que un cáncer se curara alimentándolo)

Y ESTAS LÍNEAS ESTRATÉGICAS ¿COMO SE ESTÁN LLEVANDO A CABO?

1.- Con el desarrollo de métodos de anticoncepción y esterilización más "sofisticados", sería mejor decir, más genocidas, y su experimentación y desarrollo sobre poblaciones diana:
  1. La píldora experimentada en Puerto Rico en los años 50
  2. El abortivo Dispositivo Intrauterino o DIU
  3. Los contraceptivos inyectables (Progevera) que se inyectan cada tres meses. Su aplicación es simple y tiene bajo coste. En algunos países se han desarrollados equipos móviles que recorrían los pueblos cada tres meses para suministrar las inyecciones a las mujeres. En algunos casos como en El Salvador la inyección se aplicaba sin que las mujeres tuvieran conocimiento de que se trataba de un anticonceptivo. En Camboya a cambio de una gallina se aplicó a 8.000 mujeres. En Sudáfrica se obligaba en las fábricas a la mujeres a ponerse la inyección bajo amenaza de despido. Este método es ampliamente utilizado por la OMS para estimular la esterilización reversible en el Tercer Mundo. Aun sabiendo que ha sido demostrado los efectos secundario cancerígenos
  4. Norplant: es un anticonceptivo implantable subcutáneamente, cuyo efecto dura durante cinco años. Su experimentación se desarrolló en Bangla Desh. Las mujeres no dieron su autorización ni fueron informadas del alto numero de efectos secundarios que tenía (hemorragias, alteraciones la visión, debilidad extrema, anemia, adelgazamiento..). Si decidían quitárselo (cosa que solo puede hacerse de forma quirúrgica) tenían que pagar la operación y el implante. Un informe de la OMS de 1993 afirmó que el Norplant es efectivo, reversible y apropiado para su uso ya que ha sido experimentado en más de 40 países del tercer mundo con alrededor de 25.000 mujeres. Hoy día en España hay ginecólogos que lo ofrecen.
  5. La esterilización a través de la ligadura de trompas es uno de los métodos. En Colombia es gratuita. Está financiada por fundaciones privadas como La Fundación Ford. En éste país sólo en el año 1987 fueron esterilizadas 40.000 mujeres con la promesa de recibir lápices de labios. Y en la actualidad la asociación Pro-Familia esteriliza diariamente 80 mujeres. En Guatemala una agencia católica denunció la esterilización masiva de mujeres indígenas sin consentimiento previo cuando iban a hospitales estatales a consulta médica o al ser atendida en los partos. En Méjico del total de partos por cesárea en la población indígena el 70% quedan estériles. El caso más sangrante lo tenemos en Brasil donde la `Asociación para el Bienestar de la Familia' fue acusada de haber esterilizado a un millón de mujeres solo en el estado de Guanabara entre 1965 y 1975. Según un informe del ministro de sanidad brasileño de 1993, 25 millones de mujeres en Brasil están esterilizadas, de ellas el 80% era pobre, negra o mestiza. Y así podemos seguir con otros países como Puerto Rico donde en 1965 ya habían sido esterilizadas un 45% de mujeres en edad fértil. O el Salvador, Indonesia, India, Bangla Desh donde en los años 80 se vinculó la entrega de alimento tras una epidemia de hambre a condición de ser esterilizada. Un 80% de las mujeres de esa zona fueron condenadas a la infecundidad de por vida.
Se han descubierto formas de esterilización oculta en alimentos, como en Guatemala donde se encontró sustancias anticonceptivas en los alimentos donados desde EE.UU. para la población pobre.
Se ha desarrollado vacunas anticonceptivas bajo los auspicios de la OMS que pueden ser enmascaradas con la vacunación del tétanos como se denunció en Filipinas, donde se dirigió una campaña de vacunación contra el tétanos sólo a mujeres fértiles con pautas de administración diferentes a las habituales. Unas religiosas, que fueron las que denunciaron el caso, mandaron analizar esas vacunas y contenían sustancias anticonceptivas. Ejemplos de este tipo se han producido también en México, Nicaragua e India.
También las esterilizaciones químicas que consiste en introducir en el útero de la mujer cuando se va a hacer una revisión ginecológica y sin que ella se de cuenta, sustancias irritantes que lo inflaman y bloquean la entrada a las trompas de Falopio. Es un método fácil, de bajo coste (22 pesetas por esterilización) y ya ha sido aplicado un Guatemala con la financiación de una fundación americana (Population Council) y el beneplácito de las autoridades sanitarias.
Y por último UNICEF y el Alto comisionado para los refugiados están promoviendo el uso del aspirador manual endometrial que es un método abortivo utilizado en la primera fase del embarazo, de fácil uso, que no requiere grandes medios técnicos y que ya se está utilizando en Bosnia, Afganistán, Perú y África Central.
Las consecuencias de ésta campaña durante 30 años se está viendo en iberoamerica donde su fertilidad ha sido reducida a la mitad.
Detrás de éstas practicas genocidas, de exterminio tenemos a:
1.- LAS MULTINACIONALES FARMACÉUTICAS como Upjoh, Syntex o Home Products que desarrolló el Norplant y fue financiada por una agencia de ayuda al Tercer Mundo, la americana Agencia Norteamericana para el Desarrollo Internacional y de cuya propagación y sponsorización fue responsable la OMS. Estas empresas se han aprovechado de las políticas de control de la natalidad donde el tercer mundo se ha convertido en un buen campo de pruebas experimentales para sus productos y en un campo privilegiado de venta de material anticonceptivo.
2.- LAS FUNDACIONES E INSTITUCIONES PRIVADAS principalmente americanas son otro eslabón de la cadena en estas políticas eugenistas, propician programas de esterilización, difunden anticonceptivos y dispositivos intrauterinos, presionan a los gobiernos o sobornan a sus mandatarios para la aceptación de estos programas y mantiene campañas de desprestigio de las posturas contrarias a estas políticas, siendo especialmente críticas con la Iglesia Católica como se ve en las conferencias internacionales como la del Cairo. Su financiación corre a cargo de empresas farmacéuticas, capitales privados (Ford, Rockefeller, Bill Gates, Ted Tudner, Packard), de universidades, bancos y del gobierno de Estados Unidos, Japón, Suiza, Holanda,...
Alguna de ellas son:
- Federación Internacional de Planificación Familiar: es la principal promotora del Norplant y de los programas de esterilización. Algunos de sus medidas para reducir la fertilidad de las clases bajas en EEUU eran: transformación de la imagen de familia ideal, la reducción o eliminación de los permisos pagados por maternidad, dificultades en la adquisición de la primera vivienda, la esterilización obligatoria para quien ya tiene dos hijos.
- El consejo de Población Norteamericano que ha desarrollado un agente de control de la fertilidad mezclable con el agua potable que ha puesto en práctica en Egipto. En Brasil desarrolló un plan de esterilizaciones que afecto a 500.000 mujeres.
- Católicos por el Derecho a Decidir: entidad apóstata apoyada por la fundación Ford y cuyo campo de acción es Iberoamérica. Uno de sus principales objetivos es el atacar, ridiculizar las propuestas, enseñanzas de la Iglesia Católica a través de la financiación de medios de comunicación social, principalmente en EEUU e Iberoamérica.
- Salud Familiar Internacional.
- La asociación para la esterilización voluntaria
- Oficina del censo de población
3.- OTRA LÍNEA O ESCALA EN LA ESTRATEGIA ES A TRAVÉS DE LAS ORGANIZACIONES DE LAS NACIONES UNIDAS.
1.- El Fondo de Población de las Naciones Unidas es el instrumento del Banco Mundial y de la Agencia Internacional de Desarrollo norteamericana para introducir políticas en materia de control de la población en los países del tercer mundo. Supeditando la cesión de programas de ayuda al desarrollo a la aceptación de los programas de población.
2.- La OMS (Organización Mundial de la Salud): su financiación depende en gran parte de la aportación externa de empresas farmacéuticas, el Banco Mundial, de la fundación Ford y de la Institución americana Consejo de Población. Ha desarrollado proyectos de investigación sobre el Norplant y como se comentó anteriormente fue denunciada por la participación en el programa de vacunación con productivos abortivos ocultos en Filipinas, Méjico, Nicaragua e India.
El presidente americano Lindón Jonson resumió de manera acertada esta situación en los años 60: " Existen 3 mil millones de personas en el mundo y solamente 200 son nuestras. Tenemos una desventaja de 15 a 1. Si la razón tuviera fuerza, inundarían Estados Unidos y se llevarían lo que tenemos. Nosotros tenemos lo que quieren."

ALGUNAS CONCLUSIONES PARA FINALIZAR:

Como nos hemos intentado demostrar la cultura de la muerte no es algo que se haya generado espontáneamente. Está planificada científica y sistemáticamente.
"Esta estructura está activamente promovida por fuertes corrientes culturales, económicas y políticas, portadoras de una concepción de la sociedad basada en la eficiencia. Mirando las cosas desde este punto de vista, se puede hablar de una guerra de los poderosos contra los débiles". Esto es lo que nos dice Juan Pablo II en la encíclica evangelium vitae; el débil se ve como una amenaza a la calidad de vida del fuerte, como un enemigo a eliminar.
Hay una tendencia actual de ausencia de responsabilidad del hombre hacia sus semejantes, cuyos síntomas son la falta de solidaridad con los miembros más débiles de la sociedad (ancianos, niños, inmigrantes,. ..).
La crisis de la cultura nos lleva a la confusión entre lo que son los derechos y los deberes.
La debilidad de la familia, ha relegado sus responsabilidades al Estado... La familia produce ciudadanos libres porque la familia es seguridad humana y emocional, educación formadora de personas, libertad y autonomía frente al Estado. Por lo tanto hay que debilitar a la familia, eliminar la transmisión de valores como la gratuidad, el sacrificio desinteresado, el amor , la solidaridad, la justicia,... para que sean valores participados desde el poder y los medios de comunicación social los que fragüen los proyectos de vida. La familia es un obstáculo en este plan, una estructura social inconveniente.
El eclipse de la conciencia: donde la dignidad de la vida, de la persona humana se ha perdido en favor del utilitarismo.

¿QUÉ HACER?

- Tomar partido. Hacernos la pregunta ¿de qué lado estamos?
- Promover una cultura de la vida frente a las formas de vida consumistas, egoístas y vacías que nos impone la cultura de la muerte.
- Desarrollar realidades solidarias con las víctimas inocentes.
- Denunciar las causas de estos crímenes en la calle, prestando nuestra voz a quienes no tienen voz..
- Exigir al Estado español que no colabore con estos crímenes
- Exigir a la Unión Europea que combata políticamente todos los atentados sistemáticos contra la vida, que promueva relaciones de justicia con los países empobrecidos
- Exigir responsabilidades a los organismos e instituciones cómplices de estas atentados contra la vida.
- Gritar NO MATARAS.
FUENTE: Dr. Carlos Martínez, Pro-Vida (ONG) Argentina / http://www.infovida.org.ar



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